30 juin 2023

Faire un investissement immobilier : Oui, mais avec quelle alternative ?

Le marché de l’immobilier divise.

Pour certains les loyers sont trop chers et pour d’autres, ils correspondent à ce que la demande est prête à investir.

Selon une étude du bureau d’analyse BASS, 78 milliards de francs ont été versés aux propriétaires d’appartements depuis ces 15 dernières années.

L’équilibre entre le montant des loyers et le niveau des revenus atteint ses limites.

Ainsi, faire un investissement immobilier en Suisse ouvre la voie de la comparaison à plusieurs alternatives.

 

L’activité de construction a ralenti et a entraîné avec elle la hausse du prix des logements anciens. De plus, le taux de référence sur les baux conclus augmente le prix des nouveaux logements. La situation de l’offre observe, elle aussi, un ralentissement dû à : 

  • La dissolution des ménages,
  • La pandémie,
  • La hausse de l’immigration,
  • La loi sur l’aménagement du territoire (LAT).

On comprend aisément l’entrain modéré des investisseurs à se projeter dans un contexte insécure et fluctuant.

Dans cet article, nous aborderons la présentation de 4 alternatives d’investissements, dont la propriété par étages (PPE), les fonds de placements immobiliers, l’investissement participatif “crowdfunding” et l’actionnariat participatif “crowdfunding”, puis les comparerons.

Qu’est-ce que la PPE ?

La PPE représente la propriété par étages, autrement dit une forme de copropriété où chaque acquéreur devient propriétaire d’une part d’un bâtiment.

D’ailleurs, chacun d’entre eux dispose d’un droit exclusif de jouissance sur leur bien immobilier. Ainsi, cela leur confère des droits sur la vente, la location et l’aménagement du logement.

Pour faire état de la répartition entre les différents copropriétaires, on évoque la notion de quote-part. Celles-ci sont attribuées selon:

  • la surface de base des parties privées,
  • la surface des locaux annexes,
  • la surface de base des parts soumises à un droit de jouissance.

La valeur totale du bâtiment est calculée en centièmes ou en millièmes.

Toutefois, il faut rappeler que l’accès à la PPE en Suisse présente des inconvénients majeurs. En effet, plus de 50 % des Suisses sont locataires. Sans apports conséquents, il est difficile d’investir, car cela induit que les investisseurs soient capables de réunir 20 % de la valeur du bien immobilier estimée, dont 10 % en liquide, en fonds propres. À cela s’ajoutent les frais d’achat, d’une valeur de 5 % et les impôts à payer dans le cadre d’un retrait du 2ᵉ pilier.

Associée à la hausse des taux d’intérêts et à la raréfaction de l’offre des logements face à une demande grandissante, l’alternative des fonds immobiliers représentent-ils à l’heure actuelle, un investissement plus stratégique et abordable ?

 

Qu’est-ce qu’un fonds immobilier ?

Un fonds de placement immobilier direct ou indirect est une méthode d’investissement utilisée pour générer des revenus et diversifier son patrimoine.

Deux détentions de parts de fonds de placement immobiliers se distinguent : 

  • les immeubles en direct, c’est-à-dire que le fonds est directement propriétaire des immeubles.
  • les sociétés immobilières, autrement dit une détention indirecte.

Intéressons-nous à la première catégorie (les immeubles en direct).

Celle-ci bénéficie d’un traitement fiscal privilégié, car l’imposition sur les rendements et la fortune immobilière n’a lieu qu’à partir du fonds. Ainsi, les investisseurs exonérés de l’impôt sur le revenu et la fortune immobilière évitent une double imposition économique, susceptible de pénaliser les actionnaires des sociétés immobilières, malgré l’imposition privilégiée des dividendes.

Fait important : Les taux d’imposition des fonds de placement immobiliers avec un immeuble en direct varient d’un canton à l’autre.

Il convient de rappeler que les fonds immobiliers ne sont pas des investissements réputés pour leur côté sécuritaire. Au contraire, ils sont mis sur le devant de la scène par une propension à la volatilité des marchés et le manque de liberté. Le choix des produits d’investissements, manque de transparence sur le suivi. De plus, on note l’impossibilité de se prononcer sur la décision des allocations.

Enfin, ce type d’investissement est recommandé pour des profils sereins et avertis face aux risques de fluctuations.

Ainsi, la solution de l’investissement participatif « crowdfunding » dont le principe consiste à regrouper plusieurs investisseurs pour financer un projet immobilier, semble plus pertinente.

 

Qu’est-ce que l’investissement participatif “crowdfunding” ?

Cette alternative permet aux particuliers de faire un investissement immobilier avec un montant minimum accessible. Ils bénéficient des avantages liés à la propriété immobilière, tels que la perception de revenus locatifs et d’un rendement annuel proportionnel à la hauteur de leur investissement.

Rappelons que les investisseurs sont solidaires du montant total de l’hypothèque.

Oubliez également la protection de vos données, car vous êtes directement inscrits au registre du commerce.

De plus, les modalités du processus de revente des parts sont parfois complexes et dépendent des sociétés qui proposent ce type d’investissement.

Mais alors, vers quelle solution se tourner ?

 

Qu’est-ce que l’actionnariat participatif crowdfunding ?

L’actionnariat participatif crowdfunding est un concept unique et rentable, développé par SIPA Crowd Immo pour permettre aux investisseurs de devenir actionnaires et détenteurs d’une société créée.

Nous acquérons des immeubles résidentiels en Suisse en partenariat avec notre prestataire hypothécaire et engageons nos fonds propres.

Ainsi, les propriétaires possèdent une fraction de chaque appartement de l’immeuble. Ils perçoivent des revenus locatifs, sous forme de dividendes versés une fois par an.

Ceux-ci profitent des avantages d’une solution clé en main, dont le fonctionnement leur permet d’investir dans un bien de rendement par une gestion de transaction simplifiée et une dilution du risque de vacance locative contrôlée.

Ils sont libres de choisir l’objet dans lequel investir et la protection de leurs données est préservée (aucune inscription au registre du commerce). Ces derniers participent également au choix d’allocation de leurs actifs et ont un pouvoir de décision stratégique.

La répartition des fonds sur plusieurs immeubles et différentes zones géographiques est libre.

Le processus de revente des parts est simplifié et la durée d’investissement totalement flexible.

 

Comparaison des alternatives d’investissements

La tendance dans le pays est à la location. En effet, investir en PPE n’est pas donné à tout le monde et nécessite des ressources financières importantes, puisqu’il s’agit d’acquérir un bien immobilier dans son intégralité. 

De plus, selon la motivation de chacun, les intérêts peuvent être tout à fait divergents: habitation du propriétaire, résidence secondaire ou encore location permanente ou saisonnière.

Les investisseurs peuvent louer le bien et percevoir un revenu régulier.

Cependant, le contexte inflationniste présent ne garantit ni la plus-value du bien, ni le risque de vacance locative. De plus, l’apport initial est très important et est souvent soumis à des coûts d’entretien et de gestion.

Pour les fonds de placements immobiliers, la gestion des liquidités est facilitée. Néanmoins, les rendements sont très volatils à cause de la fluctuation des taux d’intérêts et les investisseurs n’ont ni la main sur les placements qu’ils ont réalisés ni la visibilité totale des informations de leurs fonds.

L’investissement participatif crowdfunding donne l’accès aux investisseurs d’intégrer le financement de projets immobiliers à un montant très abordable d’une fraction d’un appartement. Cependant, l’enregistrement au registre foncier rend visibles les données des investisseurs. Bien que ceux-ci acquièrent un pourcentage de chaque appartement dans lequel ils investissent, ils sont solidaires du montant total de l’hypothèque.

Néanmoins, ils perçoivent des revenus locatifs ainsi que des dividendes une fois par an.

L’actionnariat participatif crowdfunding offre la possibilité aux investisseurs de devenir actionnaires et propriétaires d’une fraction d’un appartement sous le statut d’une SA. Ils perçoivent leurs revenus locatifs et SIPA Crowd Immo leur verse des dividendes une fois par an. Nous engageons nos fonds propres en partenariat avec notre prestataire hypothécaire. L’assurance d’obtenir plus de souplesse et de confort dans la gestion de leur bien.

Suite à cette analyse, il convient de dire que l’actionnariat participatif rassemble les aspects les plus complets pour faire un investissement immobilier, c’est-à-dire : simplicité, sécurité, tangibilité et rendement.

Contactez-nous dès maintenant pour consulter nos offres de rendement et bénéficier d’un accompagnement sur-mesure par notre équipe.

 

 

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